Coffret 2 Moulins à Sel et Poivre Feuilles cristal Lalique.
Nouvelle collection 2016
couleur : blanc
Peugeot entre dans l' ère industrielle au début du 19ème siècle en se lançant dans la sidérurgie.
En 1840, le premier moulin à café Peugeot voit le jour, puit suivront les moulins à poivre et sel.
Les mécanismes Peugeot sont garantit à vie. Ce n'est qu'à partir de 1886 que Peugeot se lancera dans sa production de bicyclettes
motocyclettes et automobiles, secteur pour lequel Peugeot est le plus connu à l' heure actuelle.
Lalique et Peugeot s’associent à nouveau pour rééditer le moulin à poivre Feuilles de René LALIQUE créé en 1924.
Poivre : le mécanisme à poivre est muni d’une double rangée de dents en hélice qui capture les grains, les entraîne vers le bas, puis les bloque afin de les moudre parfaitement.
Dimensions :
Hauteur : 9,3 cm
Largeur : 5,6 cm
Poids: 0,17 kg
En 1920, René Lalique crée le flacon glycines, présentant la floraison légère de cette plante grimpante, symbole de tendresse et d' amitié réciproque dans le langage des fleurs. Lalique réinterprète cette création à travers des vases et coupelles dont le décor en creux immortalise la beauté éphèmere des fleurs.
Artiste révolutionnaire, admiré ou taxé d’excentrique, René Lalique suscite un engouement extraordinaire, des cours d’Europe aux milieux artistiques ou industriels à travers le monde. Ce génie prolifique, surnommé "le Rodin des transparences” selon le mot de Maurice Rostand, a su insuffler une telle puissance poétique à sa Maison que 150 ans plus tard, le charme n’est pas rompu et son art est devenu intemporel, synonyme de beauté pure.
Le 6 avril 1860, René Lalique nait à Aÿ en Champagne (Marne), pays de sa mère. Mais c’est à Paris qu’il passera sa jeunesse. Dès son enfance, il montre de grandes dispositions pour le dessin et un amour profond de la nature.
Il entre comme apprenti chez le fabricant-bijoutier Louis Aucoc, à Paris. Tout en apprenant les techniques de la bijouterie-joaillerie, il continue de dessiner et suit les cours de l’Ecole des Arts Décoratifs de Paris. Il séjourne en Angleterre à la "School of Art” de Sydenham. A son retour, il s’initie à la sculpture auprès du statuaire Lequien. Devenu "dessinateur en chambre”, il propose à des bijoutiers ayant pignon sur rue, comme Cartier, Boucheron ou Jacta, des dessins de bijoux d’un style totalement nouveau. En 1886, il reprend l’atelier de Jules Destape, Place Gaillon à Paris où il peut enfin fabriquer ses propres créations. Ses œuvres présentées dans les vitrines des grands bijoutiers parisiens rencontrent tout de suite un vif succès auprès du public.